• Et ben oui, chaque année on se lance des défis. Moi, non plus je n'échappe pas à cette régle.

    Alors voici les miens...

    - J'arrête de dire à mon chéri  que je vais faire un truc comme une tâche ménagère ou changer la couche du petit et secrètement le faire attendre pour qu'au final ce soit lui qui le fasse. C'est affreux, je suis une experte en la matière. Le pire, c'est que quand il s'y met je lui sors la phrase qui tue : " Mais, pourquoi tu le fais... J'allais le faire..." 

    - Une promesse que je tiendrai et elle concerne tous mes potes : Les gars, promis, juré, craché, croix de bois, crois de fer quand je vous dis que je vous rappelle dans l'heure ou à l'instant X, je le ferai. Vous pouvez compter sur moi.

    - Etre plus féminine. Mettre des robes, me maquiller, troquer mes pompes contre des talons hauts. Et là, il y a mon cerveau qui rigole tout seul parce que chaque année depuis mes seize ans, je me dis ça.

    - Arrêter de passer ma vie sur le net... Oulà, Je commence déjà à me sentir en état de manque, ma main tremble.

    - Faire du sport. Ça c'est sur. De toute façon, je commence demain mais bon me connaissant, j'arrêterai surement après-demain. 

    - Arrêter de chiper de la monnaie dans la tirelire des enfants pour acheter du pain parce que j'ai la flemme de faire 200 mètres à pied pour aller au distributeur. J'ai honte.


    Et vous ? 


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  • Pas facile de choisir un cadeau mais certains ne se foulent pas vraiment. 

    Voici quelques trouvailles sur le net.

     

     

    Effectivement on peut faire mieux, quoi que c'est plus sympa qu'un shampoing. 

    Les pires cadeaux de Noël...

       

    J'imagine la personne dire "merci" ... Une photo s'impose pour immortaliser ce moment.

    Les pires cadeaux de Noël...

     

    Ben quoi, c'est cool un bol en plastique... Au moins il ne se cassera jamais.

    Les pires cadeaux de Noël...

      

    Moi je dis : "c'est l'intention qui compte"...

    Les pires cadeaux de Noël 2015

      

    Ben, il est sympa ce bougeoir, il a même un couvercle. Les gens ne sont jamais contents

    Les pires cadeaux de Noël 2015

      

    Le cadeau typique d'un pays. C'est sympa mais on ne sait pas quoi en faire.

    Les pires cadeaux de Noël 2015

      

    Le cadeau utile... surtout pour cet hiver bien froid .

    Les pires cadeaux de Noël 2015 

     

    "Non, vraiment merci, fallait pas... Je ne sais pas quoi dire"

    Les pires cadeaux de Noël 2015

      

    L'instant : "Je deteste ma mère mais comment a-t-elle pu me faire ça à moi son adorable fille"

    Les pires cadeaux de Noël 2015

     

     

    Allez, je balance mon pire cadeau. Une amie m'a invitée pour le réveillon. Il y avait six personnes et j'avais pris un cadeau à chacun. Au moment d'ouvrir les cadeaux, la tante voyant que je n'avais rien, est vite partie emballer un truc dans la cuisine et est revenue toute joyeuse : " et voilà pour toi..."  C'était une bougie en forme de père Noël qu'elle venait juste de chiper sur le sapin. Je l'ai posé sur la table en guise de décoration et quand je l'ai allumé, il a pris feu, la nappe de l'arrière grand-mère aussi et je ne sais pas pourquoi à ce moment là, peut être pour détendre l'atmosphère, je me suis mise à chanter : " il est né le divin enfant..."

     

     Un petit dernier pour la route : Merci Papy-Mamy

    Les pires cadeaux de Noël 2015

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  • La nouvelle année arrive à grands pas et les bonnes résolutions aussi. Alors voici quelques unes histoire de se rappeler que nous sommes de Sacrées Mamans et aussi de Sacrés Papas. Je précise parce que sinon, je me fais rappeler à l'ordre par ces messieurs. Juste un message pour vous, les hommes. À la maison, j'ai aussi un Sacré Papa et je vois tout ce qu'il fait pour notre bonheur, alors excusez-moi si par moments je parle au féminin.



    - On ne dira plus : " je n'ai rien fait de ma vie " 

    mais on se rappellera tout ce que l'on a fait dans notre vie


    - On ne dira plus : " J'ai pris du poids "

    Mais : " Je suis belle quand je mange du chocolat "


    - On ne dira plus : " je n'ai rien fait de la journée "

    Mais : " J'ai pris du temps pour moi et cela fait du bien "


    - On ne dira plus : " je ne sers à rien "

    Mais : " j'ai une famille, un mari, des amis et des collègues qui m'aiment "


    - On ne dira plus : " je n'ai pas la force de faire du sport "

    Mais : " je ferai du sport que si j'en ai envie "


    - On ne dira plus : " Oui " à tout le monde 

    Mais : " Je vais y réfléchir et si je peux, je le fais "


    - On ne dira plus : " Qu'est-ce j'ai fait pour en arriver là "

    Mais : " Quelles sont les solutions pour m'en sortir "


    - On ne dira plus : " je n'ose pas changer de vie professionnelle "

    Mais : " Quelles opportunités s'offrent à moi "


    - On ne dira plus : " je n'y arriverai pas "

    Mais : " Je suis tout aussi capable que quiconque "



    Le but de cet article est de vous montrer qu'en changeant seulement notre appréciation, on peut aussi faire évoluer l'image que l'on a de nous. Je vous invite à faire le même exercice sur ce qui vous touche et aussi de nous en faire part afin que d'autres puissent en profiter. 

     

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  • L’entrée au CP, quelle joie de quitter le monde des tout-petits.
    Enfin grand et l’apprentissage de la lecture.

    Dans la cour de l’école, des jeux de toutes sortes apparaissent ;  la corde à sauter, le ballon en mousse rebondit de partout faisant participer les uns et les autres au ballon prisonnier et au foot…

    Et puis il y a le jeu de billes.

     Qui n’a pas joué à ce jeu qui existe depuis toujours, et il y a plusieurs façons de jouer : Toucher la bille de l’autre pour la gagner, la course poursuite ou la mettre dans  le trou un peu comme le golf….

    Ce jeu s’étend au fur et à mesure dans la cour de récréation :
    - Maman, je veux des billes.
    Alors, la maman parfaite achète le filet de billes à son petit cœur, lui trouve une trousse ou une boite.

    Perso, le mien a eu droit à une superbe trousse de maquillage Agnès B.

    Et la grande partie commence, quasiment tous les enfants de l’école  attendent la récréation pour montrer avec fierté leur nouvelle acquisition, comparant les billes entre elles : « celle-là c’est la plus belle, c’est un œil de chat »

    - Et ben moi, j’ai une agate !
    - Oh regardez Hector,  il a un gallot… Comme elle est grosse, tu me l’échanges ?
    - Non !
    - Allez, je te file deux araignées et une saturne, elle vaut bien deux abeilles.
    - Ok, maintenant on joue !

    Le jeu commence, effervescence de « CLIP ! »   « CLAP ! » ! « OUAIS ! »…

    Les meilleurs raflent toutes les billes.
    Certains sont  économes et un peu moins bons donc limitent leurs pertes s’arrêtent et regardent  leurs copains jouer ou vont jouer à un autre jeu.
    D’autres perdent tout en une récré.
    Il y a aussi les chanceux, qui en trouvent par terre et se refont une main.

    Un jour :
    - Maman, tu m’achètes des billes ?
    - Et  celles que je t’ai achetées l’autre jour ?
    - Je les ai perdues.
    - D’accord, mais tu prends le paquet à deux euros, je ne vais pas mettre tout mon fric dedans et cette fois-ci tu fais attention
    - Trop cool, merci maman

    Puis le jeu de billes commence à se perdre, les plus forts ont toutes les billes, les chanceux n’en trouvent plus et les parents estiment qu’ils ont déjà trop acheté.

    Il n’est pas rare de voir quelques billes trainées ici et là dans la maison, toutes seules, des résistantes qui nous ramènent à notre jeunesse, à ces bruits de cour de récré …

    Maintenant, remplacez les billes par des billets.
    Les plus  forts par les actionnaires et autres.
    Les parents par les banques.
    Les économes par le livret A.
    Les chanceux par ceux qui arrivent à percer le système.

    Je vous présente le monde que nous laissons à nos enfants.

     

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  • Au détour d’une rue…

    - Hey, salut Damien.

    - Oh ! Brioche, ça fait plaisir de te croiser.

    - Pareil, alors depuis le temps, tu fais quoi maintenant ? Tu as terminé tes études.

    - Je suis prof des écoles.

    - Ah ouais ?

    - Bla bla bla ahahaha !!!

    - Bli Bli Bli ahahaha !!!
    - Tiens, cela me fait penser. Mon fils, se fait souvent punir en classe. En fait, il parle, chante… mais il a malgré tout de bonnes notes. Bref, cela fait deux ans que je ne sais plus quoi faire et surtout à la maison, il est plutôt calme.

    - Ben, tu en as parlé avec lui.

    - Il me dit qu’il s’ennuie. Tu ne penses pas que sa maitresse devrait lui donner plus d’exercices histoire de l’occuper ?

    - Non mais il faut que les parents arrêtent avec leurs gamins. D’une part, ils pensent tous que leurs chérubins sont super intelligents. Le programme est adapté pour tous, effectivement il y a ceux qui comprennent vite et ceux qui mettent plus de temps. D’autre part, les profs ne vont pas passer leur temps à donner plus d’exercices à ces enfants parce de toutes façons ils ont compris et que ça ne sert à rien. En plus cela nous fait perdre du temps et moi, ce temps je l’utilise pour aider les autres.

    - Ah ? Ok prends ça dans ta mouille ma petite Brioche.

    - Ben oui ! Et il faut savoir que des gamins comme ça il y en a des dizaines et ils pourrissent toutes une classe.

    - Ok. Aller, rajoute une couche. C’est quoi la solution alors ?

    - Simple, il faut apprendre à ton fils à patienter.

    - Euh, avec un livre ou un dessin ?

    - Non, à patienter. Assis sur une chaise comme ça, comme un con à attendre. Comme toi, chez le médecin ou dans un avion, attendre que le temps passe…

    - Hum, ça m’a fait plaisir de te voir Damien. Ce n’est pas tout ça mais je suis à la bourre, à plus.

    - A plus.

    Non mais oh ! Quel pauvre type. Il se prend pour qui !
    Mon fils un chieur ?
    Mon fils qui pourrit une classe !
    Mauvais prof ouais !

    Puis, une fois l’agacement passé, j’ai réalisé qu’il n’avait pas forcement tort. C’est vrai que j’aime mon fils, qu’à mes yeux il est le plus beau et le plus intelligent mais en même temps, c’est la deuxième année que nous avons le même problème : punitions, croix sur le tableau, grille de bêtises…   

    Donc la solution serait de lui apprendre la patience… Là, à attendre que les choses se fassent pour reprendre une activité.
    Apprendre à se faire chier dans un coin, c’est pas facile. Et puis c’est dur comme délire.

    Finalement, je me suis posée la question : Je fais quoi quand je patiente ?
    Oui par exemple si je suis chez le médecin, ma batterie de téléphone vide, sans rien pour m’occuper.

    La réponse est : je pense
    Je pense à ma journée, à ce que je dois faire.
    Le médecin a du retard, alors je réfléchis… je me fais des plans pour le  week-end avec Virginie, ça fait  longtemps que je ne l’ai pas vu, oh mince, elle m’appelé hier soir, j’avais complètement zappé…
    Le doc a beaucoup de retard. Je me rappelle qu’un jour, avec mon grand frère, nous avions repeint  nos vélos sur la terrasse avec de la peinture rouge. Il y en avait partout, et ma mère qui hurle « Mais qu’est-ce que vous avez fait ! ». Ça me fait sourire . Alala, les bêtises que l’on pouvait faire avec le frangin...
    Un patient part et un rentre. Ce soir, j’ai bien envie de me faire un ciné avec mon cœur. J’ai vu la bande annonce de « sous la jupe des filles » avec Vanessa Paradis…
    Je sors de mes pensées et c’est au tour du dernier patient avant moi. Zut, finalement, j’aimais bien ce moment de solitude avec  moi-même… à réfléchir, à penser, à se remémorer.

    On nous fait comprendre que pour être un bon parent, il faut occuper ses enfants, limite les sur-stimuler avec tout et n’importe quoi, des jeux, des livres, des tablettes, que cela développe leur imaginaire…Mais la réflexion  sans stimuli à la même qualité.

    Alors, apprendre à patienter à son enfant, c’est lui permettre de vivre avec les autres mais aussi avec lui-même.

     

     

    la patience

     

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